Collection Jeune – Vieux. Location Pour Étudiant (2/2)

Il y a plusieurs mois, que maman m’a trouvé une chambre pour étudiant non loin de la fac de Bordeaux où je fais des études de médecine avec succès, je le pense, mais partielles étant assez bonnes, pour ne pas dire excellentes.
Je vais sur mes 19 ans, je cumule deux handicapes, je suis puceau, ça avec le temps, cela passera certainement, mais aussi, je suis timide, surtout envers les femmes, est-ce maman qui m’a toujours couvé comme une poule couve son poussin ?
Poussin, c’est le petit nom qu’elle me donne depuis ma naissance, poussin par ci, poussin par là, poussin, tu as bien brossé tes dents, poussin dit bonjour à la dame.

Il y a de quoi acquérir une certaine timidité, alors c’est la première fois qu’une femme, une vraie femme me considère comme un homme.
Dans ma tête, je sais que je suis un mâle, un vrai mâle avec comme me l’a dit Judith tout ce qu’il faut pour satisfaire une femme, même si je n’ai pas réagi quand elle m’a fait éjaculer.

• Pascal, mange, avant d’aller à tes cours.

En me disant cela, elle tourne autour de moi, son peignoir s’ouvre par moments et je vois sa jambe sortir presque jusqu’à son aine, comme dans la baignoire, je me remets à bander.

• Mais regardez-moi ce grand gourmand, il recommence à bander, Pascal, ôte-moi d’un doute, est tu encore puceau.

Je ne trouve pas les mots pour lui dire l’état de fait, obnubilé par mes études, j’ai délaissé les filles et la fellation qu’elle m’a faites était la première

• Pascal, je suis âgée, mais si tu le veux, je serais la première à faire de toi un homme, je vais t’apprendre tout ce que je sais sur le sexe, j’ai beaucoup bourlingué et je pense que je suis celle qui peut être utile.

Qui a fait tomber son peignoir, ce que je sais, c’est qu’elle m’a amené son sein le plus proche dans ma bouche, très maladroit au début, j’ai vite compris comment le téter, allant même jusqu’à mordiller sa fraise.



• C’est bien, première leçon, ne va jamais droit au but avec les femmes, amuse-les, comme tu viens de le faire maintenant, les seins, primordiaux pour nous, c’est une zone érogène importante, du moins les miens.
Tu as vu dès que tu l’as un peu titillé, la pointe s’est redressée et durcit, comprend bien que les miens aiment énormément être titillés.
• Judith, je connais les zones érogènes, n’oublie pas que je fais des études de médecine.
• Tu as raison, viens dans ta chambre.

Elle me prend la main, me guide, je la suis comme un joli toutou, la flamberge au vent.

• Je viens de te dire, qu’il fallait être patient, à certains moments quand la fille est dans ta poche, si tu sens qu’elle peut t’échapper bien qu’elle t’ait suivi jusque dans ta chambre ou tout autre lieu, vas-y direct, mais une fois en elle, prend ton temps.
Pascal, tu es un don du ciel en quelque sorte, je n’aurais jamais pensé prendre une douche avec toi, si la pluie ne s’était pas mise de la partie.

Elle se couche sur mon lit et m’attire sur elle.

• J’ai peur que tu n'aies des remords de prendre ta logeuse, je suis trempée d’envie, entre.

C’est moi qui prends ma bite en main étant en appui sur un bras et sans que je ne trouve la moindre résistance, je glisse au plus profond que je peux aller et là catastrophe, je lâche les chevaux.
C’est ainsi que je perds mon pucelage bien penaud.

• Il apprend mon bébé, repose-toi.

Je récupère fière d’avoir perdu mon pucelage, contrairement l’âge de ma partenaire ne me pose aucun problème, une fois récupéré, je recommence à me pencher sur ses seins, les fraises reprenant de la vigueur, dans le même temps, mes doigts viennent dans sa fente.

• Acceptes-tu de me sucer la chatte, certains hommes n’aiment pas cela !
• Tu me guideras.

Elle écarte ses jambes, je me place dans sa fourche, il y a encore des traces de mon sperme éjaculé lors de la perte de mon pucelage, mais fière d’être un homme, cela ne m’arrête pas.

Je suis puceau, mais loin d’être ignorant, en anatomie et autres pratiques sexuelles, ce serait dommage étant presque à la fin de ma première année de médecine, ma langue se pose sur son clitoris, surtout que celui de Judith est assez proéminent quand je le sors de son capuchon.
Rapidement, elle commence à se tortiller, il faut que je lui bloque les hanches afin que son excroissance reste dans ma bouche, je vois que le plaisir monte en elle aussi, je continue jusqu’à ce qu’elle m’expulse des petits jets de liquide dans ma bouche et sut ma figure.
Je bande de nouveau, mais quand elle émet un dernier soupire, de plaisir, je respecte son âge et viens me coucher à son côté, seule ma main vient se poser sur son sein le plus proche.
Après quelques minutes, elle se tourne et me regarde les yeux dans les yeux, son regard se trouble.

• Tu m’as tué, il y avait longtemps que ma chatte n’avait pas été à pareille fête, tu es un garçon formidable et plein de ressources, ta femme va avoir la chance de sa vie quand elle te rencontrera.
Il y avait tellement longtemps que je suis fidèle à la mémoire de mon mari que j’avais oublié que j’avais un sexe, tu as même réussi à me faire éjaculer des jets de cyprine, lorsque j'étais jeune, Louis recevait souvent les jets de la femme fontaine que j’étais.
• Tu as été marié !
• Veux-tu que je te raconte !
• J’aimerais, nous sommes amants, toi, tu sais que j’étais puceau jusqu’à tout à l’heure, d’ailleurs, je le suis encore à moitié, je suis à peine entré en toi.
• Je vois que tu bandes fort dans ma main, attends, je vais me mettre en levrette, c’était ma position favorite, j’ai récupéré.

Elle se met à quatre pattes, sa croupe est magnifique, je me souviens de son premier conseil, surtout que maintenant, je sais qu’elle m’appartient, je me penche sur sa chatte et je la suce de son vagin à son anus.

• Une feuille de rose, tu es extraordinaire, j’aime beaucoup, mais je te veux en moi, entre vite et pilonne-moi le plus rapidement possible.


Ce que femme veut, rapidement, je sens que mon pucelage est définitivement lettre morte, heureusement que son voisin est absent, les cris de plaisir qu’elle émet montrerait qu’outre mon pucelage perdu, je suis un très bon amant.
Quand je décharge, c’est à mon tour de crier, depuis que j’ai découvert mon sexe, la jouissance que j’en tirais est multiplié au centuple, nous nous écroulons, enchevêtrer, jusqu'à ce que nous émergions.

• Pascal, tu as vu l’heure, le temps que tu reprennes une douche, tu risques d’être en retard à la fac !
• Aucun problème, je me servirais du rattrapage que nous avons mis en place, à ce jour contrairement à d’autres qui font la fête, incapable de se lever le matin.
• En quoi cela consiste-t-il ?
• Avec nos portables, nous enregistrons le cours du professeur, en écoutant malgré la mauvaise audition, nous prenons les notes que nous aurions prises en direct.
• Alors si tu le veux, allons manger, j’ai une faim de loup, aimes-tu les ris de veau aux morilles.
• J’adore, quand maman en trouve, elle m’e, prépare avec les morilles que je lui ramène dans mes balades en forêt, je connais des coins près de chez moi.

C’est nu que nous nous levons, elle sort une barquette toute prête et réchauffe le plat certainement acheté chez le traiteur à deux pas.

• Tu devais me parler de ton mariage.
• Oui, à l’âge de dix-huit ans, Louis était le bras droit de mon père, il venait souvent chez nous, c’est par l’intermédiaire de maman, qu’ils s’étaient connus, je lui ai posé la question un jour, s’il avait été son amant, son regard se troublant et la voix qu’elle avait m'a fait pencher pour le « oui ».
• Tu as pris le risque de te donner à cet homme sachant qu’il a été l’amant de ta mère.
• J’ai encore de la morale, même si je viens de faire l’amour avec un garçon bien plus jeune que moi, c’est quand il m’a dépucelé et qu’il m’a épousé que j’ai eu l’impression qu’ils avaient été amants.

Ce qui est sûr, c’est que jusqu’à sa mort il y a vingt ans, je n’ai jamais eu le doute sur sa fidélité, pour sa défense, je me suis très vite trouvé esseulé, car il a fini sa vie entièrement à ma merci ou mon bon vouloir.
Je te rassure, il est mort dans mes bras, il aurait pu parler, il m’aurait tressé des couronnes d’éloges.
• Depuis vingt ans, je suis le premier qui a couché avec toi ?
• Oui, ma main a remplacé le sexe des hommes, tu as réveillé mes envies quand j’ai vu que tu bandais.
Mais, je ne t’ai pas dit comment il m’a mis dans son lit, je t’ai dit que cela s’était fait quand j’avais dix-huit ans, il était passionné de pêche à la mouche, il allait dans les torrents des rivières dans les Pyrénées.
Un dimanche soir, il est venu à la maison nous apporter quelques belles pièces attrapées dans la journée, des parents étaient chez des amis, je ne l’ai pas entendu entrer, dormant sur le sofa.
Je venais de regarder un film érotique, ma main s’était portée sur mon clitoris, à son tour, son doigt s’est posé sur mon bouton, il a sorti sa queue et je l’ai sucé.
J’avais assez peu de connaissances sexuelles, cet homme acceptant de s’occuper de moi m’a fait chavirer, ceci ne c’est pas fait comme une lettre à la poste, quand mon père a su qu’il voulait m’épouser, c’est moi qui ai réglé la situation en les quittant.
Tous ont disparu et j’ai hérité des biens et des autres, cela me permet de vivre en toute insouciance surtout avec la location de ta chambre.
• Ton histoire m’a passionné, mais il faut que je retourne à mes chères études.

Dans les semaines, les mois et les années qui ont suivi, jusqu’à la fin de mes études, nous avons fait l’amour Judith et moi, le seul changement dans notre vie faite de course à pied, amour profond et physique, c’est que chaque soir elle vient sur mon lit lire, car c’est une grande liseuse.

J’ai été reçu dans les premiers, au C.H.U de Bordeaux, ils voulaient que je prenne un poste chez eux, en parfait accord avec la femme de ma vie, je préfère répondre favorablement à la sollicitation d’un maire d’une petite ville de la Creuse près d’Aubusson.
Ils n’ont plus de médecins depuis presque dix ans, la commune a fait un effort extraordinaire en construisant un centre médical mis gracieusement à ma disposition avec un appartement, comme je suis tenu d’aller chez des anciens.
Il me paye mon permis de conduire et me fournit une petite voiture.
C’est Judith qui est venue avec moi, quittant son logement que nous louons pour nous occuper de mes coups de téléphone et de ma comptabilité.

Chaque fois que je sors dans le village et que je rencontre les habitants, il n’est pas rare que les gens me posent la question.

• Comment va votre maman ?

Ou quand il fait beau et que nous nous promenons bras dessus, bras dessous.

• Madame, vous avez de la chance d’avoir un fils aussi gentil et sérieux que le vôtre.

Nous en rillons quand nous sommes seuls dans notre lit, si l’un d’eux venait dans notre logement, il n’y verrait qu’un seul grand lit, excusez, je dois aller ouvrir mon cabinet.

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